Cécile Coulié
Psychogénéalogie et Psychodrame 

Biographie de Cécile :

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Issue d’une famille de médecins et d’infirmières, j’ai toujours eu envie de suivre la voie familiale au niveau professionnel. J’intègre l’école d’infirmières de Châlons en Champagne, où j’obtiens mon diplôme d’état en 1989.

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En 2001, je découvre la somato-psychopédagogie (fasciathérapie) et c’est le coup de foudre ! La somato se ressent, elle passe par la matière, par le corps. Cela me plait et me parle particulièrement. Et puis c’est une méthode dans laquelle on prend le temps de la rencontre et de la proximité.

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En 2009, je rentre en métropole et m’installe comme somato-psychopédagogue à Courtisols (51460)

En parallèle je continue à me former afin de compléter ma boite à outils (CNV : Communication Non Violente ; programme MBSR : méditation de pleine conscience) puis par un « « heureux hasard », je fais la rencontre du psychodrame morénien avec Michèle Bromet-Camou, élève de Anne Ancelin Schützenberger. À nouveau je vis un coup de foudre ! Mon chemin professionnel prend alors une nouvelle direction, à la fois pleinement dans le prolongement de l’avant, et résolument tourné vers un autre avenir.

Le psychodrame, et a fortiori le psychodrame en groupe, va me passionner. À titre personnel, je le vis comme un accélérateur puissant de mon cheminement. À titre professionnel, je me sens totalement animée par cette nouvelle proposition (certifiée par l’Ecole Française de Psychodrame en 2020)

Le psychodrame morénien :

Le mot « psychodrame » est souvent employé dans le langage courant pour désigner des contextes émotionnels difficiles et peut faire peur au premier abord ! Il existe un grand écart avec ce qu’il désigne précisément dans le travail thérapeutique.

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Le psychodrame que je pratique s’appelle psychodrame morenien, du nom de son fondateur Jacob Levy Moreno, ou encore théâtre de la spontanéité. C’est un jeu de rôles thérapeutique, un travail de groupe qui consiste à mettre en scène des événements passés, présents ou imaginés, un conflit non résolu ou une situation douloureuse, afin de trouver, selon Moreno « une réponse nouvelle à une situation ancienne ». Le psychodrame favorise des prises de conscience par l’action et le mouvement.

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Grâce à des techniques spécifiques d’enrôlage et de changement de rôles et grâce à la présence des autres membres du groupe, le protagoniste explore différents ressentis et différents points de vue dans un cadre sécurisant. Le groupe fonctionne comme une caisse de résonnance, un bras de levier qui multiplie les associations par le partage d'échos personnels variés.